« The Clown Theory est aussi une première pour le guitariste en ce qu’il lui donne l’occasion de se présenter en chanteur (enchanteur ?) : le disque se termine en effet par « Last Smile », ballade évanescente où Anis Benhallak unit ses cordes naturelles à celles de son instrument. Une manière peut-être de dessiner sa musique à venir, allez savoir. En attendant, on prendra un grand plaisir à voyager avec celle d’aujourd’hui » CITIZEN JAZZ
« Un compositeur avec un vrai sens de l’équilibre » Jazz News
« La musique d’Anis nous vient de très loin, elle va creuser en réalité dans les profondeurs des racines de la musique traditionnelle Algérienne et l’âme de l’artiste » Dubai Culture
« Un compositeur avec un vrai sens de l’équilibre » Jazz News
« En quête de liberté, encore et toujours insatisfait, il est inclassable et vit sa vie à l’image de ce qu’est sa musique. Musicien hors pair rencontré dans son studio parisien, entre deux avions, il nous livre l’intimité de ce qui le compose et de comment il compose.»
Carnet d'Art
« Le ciment des dix compositions d’Anis Benhallak est un mélange équitable de jazz et de musique arabo-andalouse, l’apport du jazz est remarquable dans « Insomnia » où l’introduction dissonante au piano est digne d’une composition de free jazz. » Tribune de l'artiste
« Décidément, nul n’est prophète en son pays ! Au menu, Apes Theater, son dernier album, enregistré à New York et sorti en novembre dernier. Démarrage en douceur. Le public retient son souffle et ouvre grand les oreilles. Anis caresse sa startocaster et libère des notes qui définissent son cosmos. La musique de Benhallak est un périple dans les limbes stratosphériques.» El Watan
Jazz à Vienne « le tour du monde en un concert »
« Un jazz fluide où harmonie et complicité de jeu se dégagent entre les musiciens. Où, pour la première fois, les morceaux s’habillent de sons électroniques à travers lesquels il définit les routes à emprunter, illumine la voie lactée d’éclairs rock, de motifs pop, emporte dans son sillage des influences du monde entier » France Musique
« Un jazz Fusion au parfum des mille et une nuits » Jazz Mag
« Voilà un album qui porte bien son nom, car c’est bel et bien un projet paradoxal (mais réussi) que de vouloir mêler dans un disque de jazz, du raï, du malouf et aussi du rock. Comme quoi en musique, l’intégration chère à nos politiques est non seulement possible mais effective. » Nouvelle Vague.
« De l'originalité, il y en a, dans ses mélodies. Tout au longde sa performance scénique, il produira un jeu limpide. Les sonorités sontmultiples, tant ce musicien s’inspire de divers genres musicaux. Il appose unesynthèse soigneusement orchestrée, bien agréable à l’écoute pour les mélomanesqui le découvrent, enfin. Accompagné de musiciens non moins talentueux, tousses titres reposent sur sa guitare. Il en utilise deux, c’est selon. Le vocaln’est pas de trop, celui de Mehdi Askeur (l’un des chanteurs attitrés del’Orchestre National de Barbes). Dans S’ayda(texte du patrimoine algérien chanté notamment par Chikha Rimiti, la grande voixdu raï-blues), l’interprétation est des plus fidèles. » Blasting News
« Du jazz entre couleurs et facéties » L'Expression
« Il sort The clown Theory : Revoilà l’élégant Benhallak » El Watan
2010 - present